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La ménopause est pour nous les femmes un processus tout à fait naturel. Et même si en France environ 2,5 millions de femmes sont en période de pré-ménopause et 11,5 millions de femmes en France sont ménopausées, je m’étonne encore et toujours que ce sujet soit encore abordé avec tant de pudeur, voire avec un sentiment de honte, comme s’il s’agissait d’un tabou. Je pense qu’il est grand temps que les choses changent, ne trouvez-vous pas ?

J’ai donc mis cette page sur internet afin d’y apporter ma petite graine. Il s’agit d’informations enrichies par des témoignages personnels. Voilà, vous savez tout sur mon concept, et je dois dire que je me suis régalée à réaliser ce petit projet personnel.

La ménopause est une chose inévitable

Chaque femme passe un jour par cette transition naturelle. Un peu plus tôt chez certaines, un peu plus tard chez d’autres. En effet, il est défini dès notre naissance que notre approvisionnement ovulaire ne sera pas éternel, et la quantité de follicules baisse avec le temps.

En moyenne, c’est entre 40 et 50 ans que les ovaires commencent à diminuer leur production d’hormones. Le taux d’œstrogènes baisse, c’est à dire le taux d’hormones féminines.

Les principales modifications causées par cette baisse hormonale nous affectent de façons les plus diverses. Deux tiers d’entre nous connaissent des effets secondaires physiques et émotionnels importants, tandis qu’heureusement, un tiers des femmes sera nettement moins confronté à ces effets secondaires.

La ménopause est une chose inévitable

Chaque femme passe un jour par cette transition naturelle. Un peu plus tôt chez certaines, un peu plus tard chez d’autres. En effet, il est défini dès notre naissance que notre approvisionnement ovulaire ne sera pas éternel, et la quantité de follicules baisse avec le temps.

En moyenne, c’est entre 40 et 50 ans que les ovaires commencent à diminuer leur production d’hormones. Le taux d’œstrogènes baisse, c’est à dire le taux d’hormones féminines.

Les principales modifications causées par cette baisse hormonale nous affectent de façons les plus diverses. Deux tiers d’entre nous connaissent des effets secondaires physiques et émotionnels importants, tandis qu’heureusement, un tiers des femmes sera nettement moins confronté à ces effets secondaires.

Notre cycle est devenu fou

Pour moi, comme chez beaucoup d’autres femmes, ça a commencé comme ça : je n’ai plus eu de menstruations pendants plusieurs mois, ce qui m’a bien-sûr choquée et déséquilibrée, et puis elles ont subitement réapparu, et si puissamment que je n’osais à peine quitter la maison. C’est quand mes vertiges et mes problèmes circulatoires sont apparus que je me suis décidée à prendre un rendez-vous chez ma gynécologue.

« C’est la ménopause »,  m’a-t-elle dit. Non pas que je ne m’en étais pas doutée… je savais bien que je n’étais plus dans ma plus grande période de fertilité, mais  de l’entendre dire par une spécialiste, ça a eu sur moi un impact disons décisif et j’ai du commencer par l’accepter. Bien-sûr, car il n’y a rien d’autre à faire.

D’autant plus que les effets secondaires ont augmenté : du jour au lendemain, j’ai été littéralement agressée par sueurs et autres bouffées de chaleur. La nuit, je me réveillais sans raison, sans parvenir à retrouver le sommeil. Ma faculté de concentration a régressé, et je passais mon temps à tout oublier, ce qui ne m’arrivait jamais auparavant. J’ai vraiment du me battre, contre moi et cette satanée ménopause. J’ai vraiment ressenti cette phase comme une maladie.

Surtout ne pas s’affoler

J’ai eu énormément de chance dans ma vie, non seulement avec mon second mari, mais aussi avec ma gynécologue. Même si on n’adore jamais aller chez le gynécologue, je dois dire que nous sommes sur la même longueur d’onde toutes les deux : elle est calme, et elle a toujours évité de prescrire des médicaments, uniquement lorsque c’était absolument nécessaire. C’est sur cette base que j’ai été traitée pendants des années, et aussi la raison pour laquelle j’ai été si longtemps fidèle patiente de ce cabinet. J’y serais d’ailleurs encore si elle n’était pas partir vivre à l’autre bout de la France, mais ça, je le lui vaux bien :-)

Enfin elle m’a donné de bons conseils, par exemple : « Les changements hormonaux ne sont qu’une partie de la ménopause. On ne peut pas les ignorer, mais essayez de ne pas faire de fixation ». Le fait qu’elle me dise que dans certaines cultures, il n’existe pas de mot pour la « ménopause » ou pour les « bouffées de chaleur » m’a faite réfléchir. Du coup, je me suis calmée et ai cessé de me dire que ces symptômes de la ménopause étaient maladifs.

Malheureusement les lobbies sont très actifs

Parce qu’en effet, c’est exactement ce qu’essaient de nous faire croire les lobbies de l’industrie pharmaceutique depuis les années 60 – avec succès d’ailleurs. D’après eux, une femme ménopausée ne peut pas rester en bonne santé sans l’aide de produits chimiques. Du coup, la plupart des gynécologues jouent leur jeu. Y croient-ils d’ailleurs eux-mêmes ? Pas tous, heureusement.

Selon la devise, vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous si vous souffrez des symptômes de « cette maladie qu’est la ménopause », comme les bouffées de chaleur, aussi connues sous le nom de bouffées vasomotrices, la dépression ou la sécheresse vaginale, plutôt que d’équilibrer votre déficit hormonal au moyen d’une thérapie de substitution hormonale (THS).

Seulement c’est bien trop risqué à mon goût

Une administration d’œstrogènes-progestatifs semble à première vue être l’option la plus logique et inévitable. Cependant, en me penchant de plus près et avec une vue globale plus différenciée sur le sujet, et bien j’ai changé d’avis. J’ai réalisé que dans l’état actuel de la science, notamment celle du développement de la thérapie de remplacement hormonal, nous les femmes courrons un risque accru de cancer du sein et de l’utérus. D’ailleurs de nombreuses études le prouvent bien.

Et comme j’ai eu la chance que ma gynécologue elle aussi me conseille d’éviter ça, je me suis dit qu’il fallait absolument trouver une alternative au THS pour soulager mes symptômes. Alors j’ai tout essayé : des plantes médicinales de gattilier et d’actée à grappe noire, en passant par la luzerne et le millepertuis, jusqu’aux extraits de racine de rhubarbe et autres cures au lait de soja.

Il faut que ça marche dans la tête

Il y a toujours une méthode qui a momentanément marché, ce qui m’a mené à penser que le tour était joué, jusqu’à ce que ça reprenne malheureusement de plus belle. Ce qui m’a d’autant plus stressée. Du coup, j’étais constamment à la recherche de la « potion magique ».

Et puis j’ai commencé à me dire qu’il fallait arrêter de faire une fixation, et que je devais d’abord faire le premier pas dans ma tête parce qu’apparemment, le remède idéal n’existait pas. Vous savez, il paraît qu’on peut exorciser les douleurs avec certaines techniques de concentration. Alors j’ai essayé plus ou moins d’en faire autant, et de voir les choses plus calmement, en tachant tout d’abord d’effectuer un travail personnel sur mon bien-être. Je sais aujourd’hui combien cela me fait de bien de fortifier aussi bien mon corps que mon esprit, à tous les niveaux.

Par exemple pour prévenir l’ostéoporose, je pratique un peu de sport, modérément. Et puis je fais mes exercices quotidiens de relaxation, et me promène régulièrement dans la nature, ou tout du moins au parc près de chez nouis. Et puis je me nourris de façon plus consciente qu’à l’époque. Que des choses simples, mais qui me permettent de me détendre, et de rendre ma ménopause plus supportable, voire même agréable.

En outre, j’ai découvert un complément alimentaire à base d’acides aminés qui complète mon apport en nutriments essentiels, et qui booste mon taux d’hormones grâce aux phytohormones de houblon, sans risque de cancer ni autre effet secondaire. Je vais d’ailleurs même mieux qu’au début de ma ménopause, pas forcément tous les jours, mais globalement, oui c’est certain. J’essaie aussi de ne pas me laisser démoraliser par mes troubles climatériques en prenant soin de moi, et de transmettre ce que je sais et ce qui me fait du bien, parce que ça peut peut-être servir à d’autres femmes.

Si vous avez vous aussi vos petites ruses pour bien vivre la ménopause, ou bien des questions, et bien envoyez-moi une petite ligne.

Il se peut que je ne vous réponde pas immédiatement car je mène une vie sociale active, mais je vous promets que je vous répondrai, et vous remercie par avance de votre compréhension si cela prenait un peu de temps.

Bien à vous,
Votre Catherine